Les attaques de Johnny Patcheko visant la première dame Dominique Ouattara ont suscité une vive indignation. Le cyberactiviste ivoirien se livre depuis quelques semaines à des révélations sans fondements sur plusieurs personnalités du pouvoir en place. Face aux graves dérives du cyberactiviste, le ministère de la femme a invité le Procureur à se saisir de cette affaire.
Les attaques de Johnny Patcheko à l’endroit de Dominique Ouattara, première dame de Côte d’Ivoire, ont suscité une grosse indignation. Dans le camp du pouvoir en place, plusieurs voix s’élèvent pour dénoncer les allégations de johnny Patcheko à l’endroit de la première dame de Côte d’Ivoire. Le ministère de la famille, de la femme et de l’enfant, a vivement condamné les attaques de Johnny Patcheko à l’endroit de Dominique Ouattara, la première dame de Côte d’Ivoire : «C’est avec une profonde indignation que le Ministère en charge de la Femme a pris connaissance des propos malveillants, calomnieux et totalement infondés tenus récemment par un cyberactiviste, surnommé Johnny Patcheko à l’encontre de Madame Dominique OUATTARA, Première Dame de la République de Côte d’Ivoire.
Ces accusations gratuites, relayées sur les réseaux sociaux, visent non seulement à ternir l’image et l’honorabilité de Madame la Première Dame, mais également à porter atteinte à l’institution qu’elle incarne et aux valeurs qu’elle représente. Madame Dominique OUATTARA, en tant que Première Dame de notre Nation, est une figure emblématique de l’engagement social et humanitaire. Elle incarne les valeurs de solidarité, de respect et de dignité qui sont chères à notre pays. L’insulter ou la calomnier revient à injurier toutes les femmes de Côte d’Ivoire qui méritent respect et considération. Ces dérives langagières, devenues récurrentes sur les réseaux sociaux, sont inacceptables et ne peuvent être tolérées ni aujourd’hui ni demain.», a déclaré la ministre Nasséneba Touré.
La ministre de la famille, de la femme et de l’enfant a également souhaité une suite juridique après les attaques de Johnny Patcheko à l’endroit de Dominique Ouattara, la première dame de Côte d’Ivoire : «Au regard de la gravité de ces propos et des actes qui en découlent, je tiens à rappeler que la liberté d’expression ne saurait être un prétexte pour bafouer l’honneur et la dignité d’autrui. En ma qualité de Ministre de la Femme, de la Famille et de l’Enfant et porte-voix des femmes de Côte d’Ivoire, je demande solennellement au Procureur de la République de se saisir de ce dossier.

Il est impératif que justice soit rendue afin de laver l’honneur de Madame Dominique OUATTARA et de préserver la dignité des femmes de notre pays.», a poursuivi la ministre Nassénéba Touré. Après les graves dérives mensongères du cyberactiviste ivoirien, le Procureur de la République devrait très bientôt lancer un mandat d’arrêt international à l’encontre de Johnny Patcheko, qui réside depuis quelques années en Finlande. Faut-il s’attendre à une extradition du cyberactiviste pour répondre devant la justice ? Seule certitude du moment, une suite judiciaire sera donnée à cette affaire.