Le taux de réussite au DEF 2025 est très attendu. Il est annoncé par le ministère de l’éducation nationale le jour de la proclamation des résultats pour le diplôme d’études fondamentales. Cette année, plus de 350 000 candidats ont participé aux différentes épreuves pour l’obtention du précieux sésame au Mali.
Le taux de réussite au DEF 2025 est dévoilé par le ministère malien en charge de l’éducation nationale. Cette année, ils étaient 350 409 candidats à prendre part aux compositions pour le diplôme d’études fondamentales en République du Mali. La liste des admis peut être consultée sur la plateforme porteduc.ml. Le taux de réussite au DEF 2025 sera-t-il en hausse par rapport à l’année dernière ? Lors de la proclamation des résultats, les candidats seront situés sur le pourcentage d’admis. L’année dernière, le pourcentage de réussite au DEF s’établissait à 44,46%, après avoir observé une baisse en 2023. La hausse du taux de réussite au DEF devrait se confirmer en 2025.
Les examens se sont déroulés dans l’ensemble dans de bonnes conditions cette année, en dépit de quelques actes de violence qui ont été signalées dans certaines villes du pays. Rappelons qu’un responsable de centre dans la ville de Gao a été tué dans une attaque terroriste lors du déroulement des épreuves du DEF 2025 en République du Mali. Le ministre malien de l’éducation nationale a d’ailleurs vivement dénoncé l’acte de barbarie causé par les terroristes pendant le déroulement de l’examen scolaire à Gao :
«Son héritage restera gravé dans les salles de classe qu’il a animées, dans l’organisation des examens auxquels il a participé avec rigueur, et dans les vies qu’il a transformées par son dévouement. Cette perte est immense pour l’éducation dans la région de Gao et pour notre pays tout entier. En ces moments douloureux, le Ministère de l’Éducation Nationale assure sa famille et ses proches de son entière solidarité. Nous nous engageons à perpétuer sa mission au service de l’école malienne et à faire rechercher et traduire les auteurs de son lâche et barbare assassinat devant les tribunaux.», a déclaré le ministre Sy Savané.